La voix des Scéens n°50
CENTRE-VILLE PARLONS DE SCEAUX ENSEMBLE (suite)
À la suite des réunions publiques de février/mars 2017 le maire a invité début mai l’ensemble des membres du conseil municipal à participer à l’élaboration d’une charte destinée à donner des orientations sur l’aménagement du centre-ville.
Pour une fois l’avis de la Voix des Scéens était sollicité. Nous avons donc décidé d’entrer de bonne foi dans la démarche.
L’un des critères qui nous agréait était celui-ci : « privilégier le style architectural du centre-ville (architecture villageoise d’Ile-de-France) pour les secteurs en lien direct avec le centre-ville actuel afin de créer une continuité naturelle du centre-ville vers la poste et l’hôtel de ville». D’autres critères nous convenaient moins mais in fine nous avons considéré que les avantages l’emportaient sur les inconvénients et nous avons signé la charte.
MAIS « PATATRAS » !
Nous découvrons, entre autres, début juin face à la mairie un permis de construire délivré le 29 mars dont l’architecture (hauteur = 21,50m en prime!) n’a rien à voir avec « l’architecture villageoise d’Ile-de-France ».
AURIONS-NOUS (ET AUSSI LES SCÉENS) ÉTÉ FLOUÉS
CRÈCHE DÉPLACÉE LE LONG DES VOIES FERRÉES UN PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE (suite du n°49)
Au conseil municipal de juin le maire a indiqué que des mesures de pollution de l’air s’étaient révélées complètement négatives.
Ce qui n’est pas probant car dans ce domaine on ne trouve que ce que l’on cherche, surtout dans celui des nanoparticules dues au freinage des trains.
Par ailleurs il est resté silencieux sur deux autres points sur lesquels s’appuie notre 1er recours contre le permis de construire, à savoir :
► Les nuisances sonores aiguës dues au passage d’environ 80 trains par jour dangereuses pour les oreilles des petits. (Guide de l’OMS).
► Le problème de la stabilité des fondations de l’ouvrage du fait du sous-sol instable de l’ancienne carrière. (Cf PLU : zone prévention des risques)