MUNICIPALES MARS 2020 LA VOIX DES SCÉENS (VDS) PARTICIPE À LA LISTE D’OUVERTURE

 

« AIMER SCEAUX » 

 

CETTE LISTE EST COMPOSÉE DE PERSONNES IMPLIQUÉES DANS LA VIE LOCALE ISSUES D’HORIZONS POLITIQUES DIVERS : MEMBRES ACTIFS D’ASSOCIATIONS, ÉLUS LOCAUX EXPÉRIMENTÉS, PROFESSIONNELS DE SANTÉ, DE L’ÉDUCATION, L’ENTREPRISE, L’ADMINISTRATION, L’INGÉNIERIE…

 

CONDUITE DANS UN SOUCI D’ÉQUILIBRE, SANS ÉTIQUETTE PARTISANE, ELLE AGIRA DANS LE RESPECT DES SCÉENS POUR UN DÉVELOPPEMENT MAÎTRISÉ DE LA VILLE TOUT EN MAINTENANT SON CARACTÈRE ET CELA DANS LA CONTINUITÉ DU TRAVAIL DES ASSOCIATIONS SCÉENNES NOTAMMENT DE QUARTIER.

Jean-Jacques Campan, Président VDS

 

 

 

ELLE DISPOSE DE COMPÉTENCES RECONNUES POUR METTRE EN PLACE UNE AUTRE POLITIQUE DE SÉCURITÉ, FINANCES, URBANISME, TRANSPORTS, JEUNESSE, SPORTS ET CULTURE.

 

 

Frédéric Courson, Vice-Président VDS

 

UN PROJET COMMUN POUR :

 

  • Réallouer les dépenses en fonction des préoccupations essentielles des Scéens tout en dépensant moins et en diminuant ainsi la dette
  • Revoir les règles d’urbanisme dans un sens de moindre densification et de diminution de l’artificialisation des sols en préservant les zones pavillonnaires
  • S’inscrire dans une démarche environnementale et éthique en intégrant des critères écologiques et sociaux dans notre politique locale
  • Rééquilibrer les priorités d’aménagement des quartiers de la ville et notamment de celui des Blagis
  • Permettre et favoriser le développement des activités de commerces, de services, d’entreprises et de tourisme
  • S’engager dans une véritable politique de sécurité et de prévention
  • Écouter l’opposition et les associations de quartier et mettre en place des consultations formelles sur les grands projets.

 

CAR UNE AUTRE POLITIQUE EST POSSIBLE POUR ARRÊTER :

 

  • La dégradation des finances municipales.(Dette 2018 :57M€ - Dette 2000 : 10M€)
  • Une fiscalité communale croissante (+ 100% depuis 2000)
  • La perte de caractère de notre Ville par le reclassement de zones pavillonnaires en zones de grands collectifs, induite par les PLU successifs depuis 2010
  • L’insécurité grandissante
  • L’exercice d’une fausse démocratie participative où les projets sont ficelés à l’avance (Parking Albert 1er, Centre-Ville et Château de l’Amiral)
  • Les difficultés de stationnement et la gêne occasionnée tant pour les riverains que pour les activités de commerces (Centre-Ville, Blagis)
  • La dégradation des conditions de transport (RER B) provoquée notamment par une densification excessive.